Concerts / Performances
Formations musicales et autres interventions de musicien pour des performances artistiques.


Groupe d’expérimentation classique-electro-chanson, avec Olivier Urbano, Manon Cousin, Jennifer Pio, Rosine Tremeau, Emilien Dodeman, Guillaume Kesseller et Laurent Kraemer






STARFISHES
Trio Power Rock Issoldunois avec Jeff (chant, guitare, basse), Robi (guitare) et MilouZ (batterie)






Performance visuel et sonore de Muriel Carpentier




21000 exposition urbaine art et design
Installation vidéo de Muriel Carpentier (collectif a4designers) accompagnée d’une performance sonore réalisée par la cie les murmures du crapaud (Cécile Thévenot : piano / Amandine Granger : flute traversière) et Emilien Dodeman : électro-acousticien, designer sonore.
Le visiteur contemple la façade à visage humain du conservatoire de musique, l’étudie et la jauge, s’y compare et s’en détourne. Il s’agit dès lors d’un face à face, de la contemplation et de son rapport a l’autre et à soi. Par un jeu de glissements du regardeur et du regardé, qui est observé?

Performance d'Aurélie Briday
Conception : Aurélie Briday
Interprétation : Mathilde Bauche, Aurélie Briday, Emilien Dodeman (batterie)
Concours “danse élargie” 2010, Théâtre de la Ville, Paris.
Prix spécial du jury
Danse élargie est destiné à tout artiste tenté par une aventure scénique nouvelle, quelle que soit sa discipline. Plus de 360 projets venus de 22 pays, ont été envoyés par des artistes issus de la danse, du théâtre, des arts plastiques, de la musique et des arts numériques. La sélection a retenu 20 projets.
1000 baguettes en plâtre, 1 batterie, 1 batteur : Émilien Dodeman.
Performance réalisé à l'école des Beaux-Arts de Dijon, 2007.
Le jury, composé de 14 représentants des différentes disciplines scéniques – la réalisatrice Claire Denis, le jazzman Mederic Colignon, le vidéaste Ange Leccia ou l'instigateur de la manifestation Boris Charmatz, par exemple – a tout du cénacle idéal. Il omettra pourtant, dans sa sélection finale, la performance de Scali Delpeyrat, Dance is a Dirty Job but Somebody's got to Do it, un trio borderline et pourtant parfaitement construit, très bel hommage du théâtre à la danse, heureusement récompensée par le prix du public. A l'inverse, on pourra complimenter ce même jury de ne pas être passé à côté de Rimshot, concert de batterie sysiphéen noyé sous une avalanche d'éclats de cierges brisés par leur impact avec les cymbales. Métaphore de l'éphémère, construction sonore née de la déconstruction, la pièce, portée pourtant par un processus des plus simples, marque par ses qualités rythmiques et plastiques. Un prix spécial du jury plus que mérité.





Intervention électro-acoustique sur une composition d'Olivier Urbano, interprété sur près de dix scènes, de l'Auditorium de Dijon à Notre dame de Baune en passant par la place de la libération à Dijon et le théâtre de Cluny.



Fête de la musique 2007, place de la libération, Dijon.
Bethléem Doloris exprime avec cynisme le sentiment d'impuissance que peut ressentir le monde occidental lorsqu’il peine à formuler une pensée cohérente au sujet d'un fait historique mêlant, dans un écheveau complexe, politique, religion et symboles : en l'occurence l'encerclement en 2002 de la basilique de la Nativité à Bethléem par les soldats de l'armée israëlienne. Les idées s'y bousculent dans un grouillement zappant de réminiscences classiques (passacaille) à la musique des dance floors (ostinatos à la noire à 144, tempo souvent employé dans la musique techno) en passant par les gémissements d'une clarinette yiddish ou le sourire forcé d'un générique télé de prime-time où brillent strass et paillettes. Inspirée par le danseur et chorégraphe Serge Chaufour, cette pièce à l'origine pour clarinette et accordéon, trouve son extension naturelle à l'orchestre symphonique. Vient s’ajouter la clarinette amplifiée, enrichie par des effets utilisés habituellement dans le rock et l'électro-jazz (vocoder, wah-wah) et une groove machine (séquenceur boîte à rythmes) apportant la touche synthétique et “machinique”.
Olivier Urbano
C’est à la suite de leur rencontre inattendue qu’un gardien de conservatoire (Émilien Dodeman) et un professeur d’accordéon (Olivier Urbano) qu’ils décident d’unifier leur style musical respectif pour proposer un projet de fusion entre musique classique et musique électronique.
Quelques mois de composition plus tard, naît l’oeuvre “Bethléem Doloris”.
S’en suit une série de concerts sous la direction de Jean-Marie Bourgeois avec L’Orchestre de chambre du conservatoire de Dijon, puis de Gætan Kuchta avec L’Orchestre Symphonique des Jeunes de Bourgogne, dans des lieux tels ; la chapelle du lycée Carnot, Nôtre-Dame de Beaune, l’Auditorium de Dijon, le théâtre de Cluny et la place de la libération de Dijon.
Notre Dame de Beaune le 16 mars 2007.

Performance collective
Nuit des musées, soirée performances
Entre poire et fromage, 17 mai 2008.
Galerie Interface, Dijon.
En sous-sol, installés dans leur construction en tasseaux de bois, Florian Sumi à la batterie et Damien Moreira à la guitare, auxquels s’était joint le batteur Émilien Dodeman, proposaient une de leur performance sonore. À cette occasion, ils étaient accompagnés d’Antoine Renard (ballon de baudruche) et Sophie Pouderoux (pin-up).


Autres groupes et interventions musicales




Dossier Sans Titre
Pleasure Interlude
Groupe d'electro-chanson, Paris. (2014)
Formation expérimentale, France. (2013)
Dead Bumblebees
​
Trio Rock Indé, Dijon. (2007-2009)
Madam Barbar
Groupe de rock-electro, Dijon. (2004-2008)


Nausicaa
Bioscop
Groupe de chanson-rock-indé, Issoudun. (1998-2000)
Groupe de folk-rock-alternatif, Issoudun. (1996-1998)